Frontière : Différence entre versions
(linden) |
(+) |
||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
Un manque de frontières peuvent favoriser un vécu d'harcelement, de culpabilité... Un excès de frontières contruit des murs entre les autres et moi. Isolement ou perte de soi. Des frontières qui fonctionnent bien apportent : autonomie, emphatie, capacité de relations intimes, estime de soi. | Un manque de frontières peuvent favoriser un vécu d'harcelement, de culpabilité... Un excès de frontières contruit des murs entre les autres et moi. Isolement ou perte de soi. Des frontières qui fonctionnent bien apportent : autonomie, emphatie, capacité de relations intimes, estime de soi. | ||
− | Anné Linden propose de les travailler via les [[sous-modalités]], les [[méta-programmes]]... | + | Anné Linden propose de les travailler via les [[sous-modalités]], les [[méta-programmes]], les [[positions persceptuelles]]... |
{{Référence}} | {{Référence}} | ||
[[Catégorie:Pages]][[Catégorie:Psychothérapie]][[Catégorie:Concepts]] | [[Catégorie:Pages]][[Catégorie:Psychothérapie]][[Catégorie:Concepts]] |
Version du 23 octobre 2020 à 10:03
Les frontières sont un concept en psychologie qui cherche à expliciter le mécanisme de percevoir à la fois son individualité et à la fois sa relation aux autres. "Comment les êtres humains demeurent des individus tout en étant capbles d'entrer en empathie et de s'identifier à autrui."[1] C'est la capacité à être séparé et connecté.
Selon Anné Linden[2] , notre manière de gérer ces frontières, voire d'en créer de nouvelles a un impact sur l'estime de soi.
Un manque de frontières peuvent favoriser un vécu d'harcelement, de culpabilité... Un excès de frontières contruit des murs entre les autres et moi. Isolement ou perte de soi. Des frontières qui fonctionnent bien apportent : autonomie, emphatie, capacité de relations intimes, estime de soi.
Anné Linden propose de les travailler via les sous-modalités, les méta-programmes, les positions persceptuelles...