Lâcher la dépendance
Lâcher la dépendance est un modèle qui utilise plusieurs techniques de PNL. Plusieurs PNListes se sont spécialisés dans ce domaine, notamment Michel Facon ou encore Elisabeth Frit[1].
Démarche[modifier]
Adapté du travail d'Elisabeth Frit[2].
- Amener le sujet à vouloir suffisamment changer - motivation
- Nécessité d'un sevrage physique
- Dissociation simple
- Trouver l'intention positive
- Intégration de parties en conflit (la partie sobre et la partie dépendante).
- Régler les problèmes annexes
- * faire exploser une compulsion
- * gérer ses émotions
- * définir des objectifs
- * prendre des décisions
- * créer un futur - ligne de temps
Reporter le sucre[modifier]
Si vous vous permettez tout le sucre que vous souhaitez, la boucle de renforcement en dopamine vous amène à exagérer sa consommation.
Si vous vous l'interdisez, vous fabriquez une frustration, voire une obsession.
Une troisième voie[3] est de reporter le moment de la prise. C'est-à-dire qu'on ne se l'interdit pas, on se dit simplement (Di) : "Pas maintenant ! J'en prendrai plus tard." Et de plus tard en plus tard...
Il serait intéressant de combiner cette stratégie utilisant le Di en recherchant les changements de sous-modalités et les utiliser pour renforcer la décision de reporter.
Notes et références[modifier]
- ↑ Elisabeth Frit, enseignante ès Lettres, Gestaltiste et PNListe.
- ↑ Elisabeth Frit, L'acool, toi, moi et les autres, éd. La Tempérance, 1991.
- ↑ Basée sur une recherche de Nicole Mead et Vanessa Patrick. Leur expérience : regarder un film avec des M&Ms sur la table. 1er groupe, "mangez-en autant que vous voulez" ; 2e groupe, "interdit d'y toucher" ; 3e groupe, "rien pendant le film mais après vous en aurez". C'est ce 3e groupe qui a les meilleurs résultats à la résistance.