Niveaux logiques : Différence entre versions

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Ce modèle a entraîné un changement majeur dans le développement de la [[Programmation Neuro-Linguistique]] en invitant à développer une vue plus globale et complète d'une problématique et en offrant une classification des techniques PNL en fonction du niveau auxquelles elles interviennent.
 
Ce modèle a entraîné un changement majeur dans le développement de la [[Programmation Neuro-Linguistique]] en invitant à développer une vue plus globale et complète d'une problématique et en offrant une classification des techniques PNL en fonction du niveau auxquelles elles interviennent.
  
Ce modèle découle du concept de [[niveaux d'apprentissage]] issus des travaux de [[Gregory Bateson]]<ref>{{ouvrage|id=Bateson, 1977|auteur=Gregory Bateson, 1977|p=254}}.</ref>, <ref>{{ouvrage|id=Dilts, 2008|auteur=Dilts, 2008|loc=« Une brève histoire des niveaux logiques », in « Annexe », p. 263 }}.</ref>.
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Ce modèle découle du concept de ''[[niveaux d'apprentissage]]'' issus des travaux de [[Gregory Bateson]]<ref>{{ouvrage|id=Bateson, 1977|auteur=Gregory Bateson, 1977|p=254}}.</ref>, <ref>{{ouvrage|id=Dilts, 2008|auteur=Dilts, 2008|loc=« Une brève histoire des niveaux logiques », in « Annexe », p. 263 }}.</ref>.
  
 
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== Utilisation et objectif ==
 
== Utilisation et objectif ==
Ce modèle permet de faire, dans un contexte donné, des distinctions entre des informations qui sont à des niveaux logiques différents. Cela sert à ne pas faire de confusion de niveaux logiques, par exemple de ne plus dire {{citation|texte=Il ne fait rien, donc c'est un fainéant}}, car ne rien faire est simplement un comportement qualifié de {{citation|texte=fainéant}} et c'est donc une identité. Celle-ci n'est pas définie par les comportements dans un contexte donné<ref>{{ouvrage|id=Dilts, 2008|auteur=Dilts|année=2008}} in Annexe - « Une brève histoire des niveaux logiques », p. 272.</ref>. Le fait de s'interroger sur tous les niveaux développe une vue plus globale d'un problème. Lorsqu'une situation problématique est analysée, ce modèle invite à cerner le ou les niveaux où se situe le problème. Pour le résoudre, une solution au niveau supérieur est nécessaire car il y a bien une hiérarchie entre ces niveaux<ref>{{ouvrage|id=Dilts, 2008|auteur=Dilts|année=2008}} in Annexe - « Une brève histoire des niveaux logiques », p.275.</ref>. Par exemple, si quelqu'un n'a pas confiance en lui, en sa réussite, le problème se situe au niveau de ses croyances. Ce n'est pas en intervenant au niveau des comportements qu'il réussira (comme exiger qu'il se présente à une demande d'emploi). Ce ne serait que de l'agitation. Il peut, d'une manière plus pertinente, se recentrer sur le sens de sa réussite dans sa vie (niveau identité), comme prendre conscience du fait qu'il mérite cet emploi pour retrouver ainsi son estime de soi et se présenter dans un tel esprit à un employeur qu'il a plus de chance de se faire engager. L'intervention dans ce cas se situerait au niveau supérieur à celui du problème et non inférieur. Les niveaux logiques ont permis de classer toutes les techniques de changement en fonction du niveau auquel elles interviennent et donc de les utiliser à meilleur escient.
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Ce modèle permet de faire, dans un contexte donné, des distinctions entre des informations qui sont à des niveaux logiques différents.  
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===Confusion de niveaux logiques===
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Cela nous invite à ne pas faire de '''confusion de niveaux logiques''', par exemple de ne plus dire {{citation|texte=Il ne fait rien, donc c'est un fainéant}}, car "ne rien faire" est simplement un comportement et le qualifier de {{citation|texte=fainéant}} est un jugement abusif sur son identité. Celle-ci n'est pas définie par les comportements dans un contexte donné<ref>{{ouvrage|id=Dilts, 2008|auteur=Dilts|année=2008}} in Annexe - « Une brève histoire des niveaux logiques », p. 272.</ref>. La confusion de niveaux logiques entre les compétences et l'identité est également très présente dans l'enseignement : ''Tu ne sais pas faire cela ? Tu es nul !'' L'identité est ce qui nous définit (''Qui suis-je ? et Qu'est-ce que je veux faire de ma vie ?'') et n'a rien à voir avec les '''compétences''' qu'on a ou pas encore acquises, ni avec les '''comportements''' qu'on a et qu'on pourrait arrêter (ce qui est l'objet de nombreuses techniques PNL).
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Lorsqu'on donne du [[Donner du feedback|feedback]], on doit le donner au bon niveau. Mais l'auditeur doit aussi le prendre à ces niveaux. S'il fait des confusions de niveaux logiques lorsqu'on lui dit qu'il n'a pas fait correctement quelque chose, non seulement il se fait mal, mais en plus les autres cesseront à terme de lui donner ce feedback et donc moins de possibilités d'amélioration.
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===Niveau du problème===
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Le fait de s'interroger sur tous les niveaux développe une vue plus globale d'un problème. Lorsqu'une situation problématique est analysée, ce modèle invite à cerner le ou les niveaux où se situe le problème.  
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====Monter au niveau supérieur====
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Pour le résoudre, une solution au niveau supérieur est nécessaire car il y a bien une hiérarchie entre ces niveaux<ref>{{ouvrage|id=Dilts, 2008|auteur=Dilts|année=2008}} in Annexe - « Une brève histoire des niveaux logiques », p.275.</ref>. Par exemple, si quelqu'un n'a pas confiance en lui, en sa réussite, le problème se situe au niveau de ses croyances. Ce n'est pas en intervenant au niveau des comportements qu'il réussira (comme exiger qu'il se présente à une offre d'emploi). Ce ne serait que de l'agitation. Il peut, d'une manière plus pertinente, se recentrer sur le sens de sa réussite dans sa vie (niveau identité), comme prendre conscience du fait qu'il mérite cet emploi pour retrouver ainsi son estime de soi et se présenter dans un tel état d'esprit à un employeur qu'il a plus de chance de se faire engager. L'intervention dans ce cas se situerait au niveau supérieur à celui du problème et non inférieur.
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====Du bas vers le haut====
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Inversement, il peut y avoir un impact des niveaux en dessous vers les niveaux supérieurs. Si on fait (niveau comportement) un grand nombre de fois quelque chose, on développe une compétence (capacités). à force de développer plusieurs compétences, on adopte une certaine confiance en soi (croyances). Après avoir réalisé certaines choses imprégnées de certaines valeurs, on peut développer une certaine estime de soi...
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'''L'impact se fait donc dans les 2 sens.'''
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===Classement des techniques===
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Les niveaux logiques ont permis de classer toutes les techniques de changement en fonction du niveau auquel elles interviennent et donc de les utiliser à meilleur escient. Par exemple, les stratégies de créativité, d'apprentissage, de décision... au niveau des '''capacités''' ; le réimprinting, les mentors, la marelle des croyances... au niveau des croyances ; le moi secure au niveau de l'identité.
  
 
== Techniques liées ==
 
== Techniques liées ==
Plusieurs techniques sont liées au modèle des niveaux logiques comme : l'''[[alignement]]''<ref>{{ouvrage|id=Dilts, 2008|auteur=Dilts, 2008|p=255}}.</ref> qui est destiné à mettre plus de cohérence entre les actions et l'identité, les ''processus de motivation'' pour trouver du sens aux objectifs fixés ou au contraire y mettre plus de contraintes, le ''moi secure'' utilisé pour développer la conscience positive et stable de soi-même, le ''[[re-imprinting]]'' enfin<ref>{{ouvrage|id=DiltsHallbomSmith, 1994|auteur=Dilts & Hallbom & Smith|année=1994}}, p=111.</ref>, pour réparer des événements du passé.
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Plusieurs techniques sont liées au modèle des niveaux logiques comme : l'''[[alignement des niveaux logiques]]''<ref>{{ouvrage|id=Dilts, 2008|auteur=Dilts, 2008|p=255}}.</ref> qui est destiné à mettre plus de cohérence entre les actions et l'identité, les ''processus de motivation'' pour trouver du sens aux objectifs fixés ou au contraire y mettre plus de contraintes, le ''moi secure'' utilisé pour développer la conscience positive et stable de soi-même, le ''[[réimprinting]]'' enfin<ref>{{ouvrage|id=DiltsHallbomSmith, 1994|auteur=Dilts & Hallbom & Smith|année=1994}}, p=111.</ref>, pour réparer des événements du passé.
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==Non verbal==
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Il est important de réaliser qu'en fonction du niveau logique sur lequel vous vous exprimez, il est question d'adopter un non-verbal qui y correspond (pour chaque niveau, il y a un non verbal spécifique), sinon vous manifesterez une certaine incongruence et donc un manque de crédibilité.
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==Crossover avec le "Réseau d'expérience"==
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[[David Gordon]] a créé le modèle de [[Réseau d'expérience]] pour donner une méthodologie pour modéliser et trouver la "bonne technique" pour le bon problème. Il utilise également 6 ''étiquettes'' dont 4 communes avec les niveaux logiques de Dilts. [[Alain Thiry]] a croisé ces 2 modèles pour obtenir [[Réseau d'expérience#Lien avec les niveaux logiques|8 niveaux]]. L'intérêt est d'ajouter les [[méta-programmes]] et les émotions.
  
 
== Bibliographie ==
 
== Bibliographie ==
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* {{Ouvrage | id = DiltsHallbomSmith, 1994| auteur= Robert Dilts, Tim Hallbom & Suzy Smith | titre = Croyances et santé | numéro d'édition = 2 | éditeur = La Méridienne et Desclée de Brouwer | lieu = Paris | année = 1994 | pages totales = | isbn = 978-2-904299-13-1 | isbn10 = 2-904-299-13-0 | passage = | lire en ligne = }}
 
* {{Ouvrage | id = DiltsHallbomSmith, 1994| auteur= Robert Dilts, Tim Hallbom & Suzy Smith | titre = Croyances et santé | numéro d'édition = 2 | éditeur = La Méridienne et Desclée de Brouwer | lieu = Paris | année = 1994 | pages totales = | isbn = 978-2-904299-13-1 | isbn10 = 2-904-299-13-0 | passage = | lire en ligne = }}
  
==Notes et références==
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{{référence}}
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[[Catégorie:Pages]][[Catégorie:Concepts]][[Catégorie:Techniques]] [[Catégorie:Techniques avancées]] [[Catégorie:Vidéos]]
 
 
[[Catégorie:Techniques]] [[Catégorie:Techniques avancées]]
 

Version actuelle datée du 21 novembre 2022 à 11:41

Le modèle des Niveaux logiques est formalisé par Robert Dilts à partir de 1984[1].

Ce modèle a entraîné un changement majeur dans le développement de la Programmation Neuro-Linguistique en invitant à développer une vue plus globale et complète d'une problématique et en offrant une classification des techniques PNL en fonction du niveau auxquelles elles interviennent.

Ce modèle découle du concept de niveaux d'apprentissage issus des travaux de Gregory Bateson[2], [3].

Six niveaux logiques[modifier]

Le modèle de Robert Dilts comporte six niveaux[4], qui sont tous formalisables au moyen de questions :

Spirituel
Qui d'autre ? C'est le niveau d'appartenance et qui répond à la question : À quel monde je me sens appartenir ?
Identité
Qui ? C'est le niveau qui identifie une métaphore illustrant l'identité et la mission du sujet
Croyances
Pourquoi ? C'est le niveau des croyances et des valeurs, sur soi, sur les autres ou sur la vie.
Capacités
Comment ? C'est le niveau des compétences et de l'organisation.
Comportement
Quoi ? C'est le niveau des actions qui sont réalisées ou non.
Environnement
Où et quand ? C'est le niveau du contexte dans lequel le sujet évolue.

Occasionnellement, Robert Dilts a présenté ce modèle sous forme de pyramide. L'objectif étant d'attirer l'attention sur le fait par exemple qu'une croyance sera souvenue ou pilotera plus compétences, et que chaque compétence permet plusieurs comportements et qu'un comportement peut se manifester dans plusieurs environements.

Vidéo[modifier]

Utilisation et objectif[modifier]

Ce modèle permet de faire, dans un contexte donné, des distinctions entre des informations qui sont à des niveaux logiques différents.

Confusion de niveaux logiques[modifier]

Cela nous invite à ne pas faire de confusion de niveaux logiques, par exemple de ne plus dire Il ne fait rien, donc c'est un fainéant, car "ne rien faire" est simplement un comportement et le qualifier de fainéant est un jugement abusif sur son identité. Celle-ci n'est pas définie par les comportements dans un contexte donné[5]. La confusion de niveaux logiques entre les compétences et l'identité est également très présente dans l'enseignement : Tu ne sais pas faire cela ? Tu es nul ! L'identité est ce qui nous définit (Qui suis-je ? et Qu'est-ce que je veux faire de ma vie ?) et n'a rien à voir avec les compétences qu'on a ou pas encore acquises, ni avec les comportements qu'on a et qu'on pourrait arrêter (ce qui est l'objet de nombreuses techniques PNL).

Lorsqu'on donne du feedback, on doit le donner au bon niveau. Mais l'auditeur doit aussi le prendre à ces niveaux. S'il fait des confusions de niveaux logiques lorsqu'on lui dit qu'il n'a pas fait correctement quelque chose, non seulement il se fait mal, mais en plus les autres cesseront à terme de lui donner ce feedback et donc moins de possibilités d'amélioration.

Niveau du problème[modifier]

Le fait de s'interroger sur tous les niveaux développe une vue plus globale d'un problème. Lorsqu'une situation problématique est analysée, ce modèle invite à cerner le ou les niveaux où se situe le problème.

Monter au niveau supérieur[modifier]

Pour le résoudre, une solution au niveau supérieur est nécessaire car il y a bien une hiérarchie entre ces niveaux[6]. Par exemple, si quelqu'un n'a pas confiance en lui, en sa réussite, le problème se situe au niveau de ses croyances. Ce n'est pas en intervenant au niveau des comportements qu'il réussira (comme exiger qu'il se présente à une offre d'emploi). Ce ne serait que de l'agitation. Il peut, d'une manière plus pertinente, se recentrer sur le sens de sa réussite dans sa vie (niveau identité), comme prendre conscience du fait qu'il mérite cet emploi pour retrouver ainsi son estime de soi et se présenter dans un tel état d'esprit à un employeur qu'il a plus de chance de se faire engager. L'intervention dans ce cas se situerait au niveau supérieur à celui du problème et non inférieur.

Du bas vers le haut[modifier]

Inversement, il peut y avoir un impact des niveaux en dessous vers les niveaux supérieurs. Si on fait (niveau comportement) un grand nombre de fois quelque chose, on développe une compétence (capacités). à force de développer plusieurs compétences, on adopte une certaine confiance en soi (croyances). Après avoir réalisé certaines choses imprégnées de certaines valeurs, on peut développer une certaine estime de soi...

L'impact se fait donc dans les 2 sens.

Classement des techniques[modifier]

Les niveaux logiques ont permis de classer toutes les techniques de changement en fonction du niveau auquel elles interviennent et donc de les utiliser à meilleur escient. Par exemple, les stratégies de créativité, d'apprentissage, de décision... au niveau des capacités ; le réimprinting, les mentors, la marelle des croyances... au niveau des croyances ; le moi secure au niveau de l'identité.

Techniques liées[modifier]

Plusieurs techniques sont liées au modèle des niveaux logiques comme : l'alignement des niveaux logiques[7] qui est destiné à mettre plus de cohérence entre les actions et l'identité, les processus de motivation pour trouver du sens aux objectifs fixés ou au contraire y mettre plus de contraintes, le moi secure utilisé pour développer la conscience positive et stable de soi-même, le réimprinting enfin[8], pour réparer des événements du passé.

Non verbal[modifier]

Il est important de réaliser qu'en fonction du niveau logique sur lequel vous vous exprimez, il est question d'adopter un non-verbal qui y correspond (pour chaque niveau, il y a un non verbal spécifique), sinon vous manifesterez une certaine incongruence et donc un manque de crédibilité.

Crossover avec le "Réseau d'expérience"[modifier]

David Gordon a créé le modèle de Réseau d'expérience pour donner une méthodologie pour modéliser et trouver la "bonne technique" pour le bon problème. Il utilise également 6 étiquettes dont 4 communes avec les niveaux logiques de Dilts. Alain Thiry a croisé ces 2 modèles pour obtenir 8 niveaux. L'intérêt est d'ajouter les méta-programmes et les émotions.

Bibliographie[modifier]

  • Robert Dilts, Être Coach, InterEditions Dunod, Paris, 2008, (ISBN 978-2-10-050246-2).
  • Gregory Bateson, Vers une écologie de l'esprit, Seuil, Paris, 1977, (ISBN 978-2-02-025767-1).
  • Robert Dilts, Changer les systèmes de croyances avec la PNL, InterEditions Dunod, Paris, 2006, (ISBN 978-2-10-049609-9).
  • Robert Dilts, Tim Hallbom & Suzy Smith, Croyances et santé, La Méridienne et Desclée de Brouwer, Paris, 1994, (ISBN 978-2-904299-13-1).

Notes et références[modifier]

  1. Dilts, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2008, (ISBN {{{isbn}}})., p=13.
  2. Gregory Bateson, 1977, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  3. Dilts, 2008, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  4. Dilts, 2006, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})., p=55.
  5. Dilts, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2008, (ISBN {{{isbn}}}). in Annexe - « Une brève histoire des niveaux logiques », p. 272.
  6. Dilts, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 2008, (ISBN {{{isbn}}}). in Annexe - « Une brève histoire des niveaux logiques », p.275.
  7. Dilts, 2008, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, {{{année}}}, (ISBN {{{isbn}}})..
  8. Dilts & Hallbom & Smith, {{{titre}}}, {{{éditeur}}}, {{{lieu}}}, 1994, (ISBN {{{isbn}}})., p=111.